Étudiants & postdocs

Thomas Villeneuve a débuté sa maîtrise en mai 2024 sur la taxonomie et les interactions plantes-herbivores de la cicutaire de Victorin (Cicuta maculata var. victorinii), une endémique de l’estuaire d’eau douce du Saint-Laurent. Ce projet est en collaboration avec le Ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs.

Thomas a terminé son baccalauréat en biologie à l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Il a aussi été technicien en milieu naturel et de la faune aux parcs nationaux d’Oka et de la pointe Taillon. En plus de son intérêt pour la science, l’écologie et la conservation des milieux naturels, il est un grand passionné de plein air (escalade, randonnée, camping, vélo de montagne…).

Simon Pesant a débuté sa maîtrise en mai 2024 sur l’écologie et la conservation des espèces de l’estuaire d’eau douce du Saint-Laurent. Ce projet est en collaboration avec le Ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs.

Simon a terminé son baccalauréat en sciences biologiques à l’Université du Montréal (UdeM) avec un projet honor sur la taxonomie des Bidens (Asteraceae), dans notre laboratoire. Il est intéressé par la biodiversité depuis longtemps. D’abord par les amphibiens et autres animaux, il a par la suite développé son intérêt pour les végétaux au cours de son parcours académique, probablement grâce aux excellents cours de botanique offerts par le Prof. Léveillé-Bourret… 🙂

Marc-Aurèle Vallée a débuté une maîtrise en septembre 2023 sur la phylogénie et l’évolution des aubépines nord-américaines (Crataegus subg. Americanae) à l’aide marqueurs génomiques (HybSeq). Ce projet est en collaboration avec le laboratoire de Dr. Roswitha Schmickl en République Tchèque.

Avant d’arriver dans notre laboratoire, Marc-Aurèle a obtenu un baccalauréat en biologie à l’Université du Québec à Rimouski (UQAR). Il a travaillé en écologie végétale pour plusieurs employeurs incluant le Bureau d’écologie appliquée, et ses connaissances en botanique de terrain et en floristique sont déjà très avancées!

Maurane Bourgouin a débuté un doctorat en septembre 2022 sur l’évolution des bidents (Bidens, Asteraceae) des estuaires d’eau douce, qui comporte plusieurs espèces rares et menacées à l’échelle mondiale.

Avant d’arriver dans notre laboratoire, Maurane a terminé une maîtrise sur l’écologie des bryophytes à l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue. Elle a aussi travaillé en écologie et conservation des bryophytes pour le COSEPAC et pour l’Université de Moncton. Son expérience dans l’identification de groupes taxonomiques complexes l’a bien préparé pour ses travaux actuels sur le genre Bidens!

Étienne Lacroix-Carignan est arrivé dans notre laboratoire en septembre 2021. Il fait un doctorat sur la systématique des Carex sect. Lupulinae, un groupe qui a subi de nombreuses révisions taxonomiques, mais qui recèle encore de nombreuses surprises!

Il est un grand passionné de botanique et d’écologie, et s’intéresse à tous les organismes, même des groupes négligés comme les lichens et les bryophytes, ou des genres difficiles comme les aubépines (Crataegus). Il est très impliqué dans des organismes de science citoyenne comme iNaturalist et FloraQuebeca.

Co-supervision d’étudiants gradués & postdocs

Stéphanie Rivest a débuté un post-doctorat en 2023 en co-supervision avec Simon Joly et Stéphanie Pellerin du Jardin botanique de Montréal. Son projet de recherche, financé par MITACS, vise à déterminer si l’urbanisation influence les traits fonctionnels des espèces végétales, à l’aide d’une méta-analyse de jeux de données écologiques récoltés dans plusieurs grandes villes de l’Amérique du nord.

Cassandra Bradshaw a débuté son doctorat en 2022 dans le laboratoire de Julian Starr à l’Université d’Ottawa. Sa thèse vise à résoudre les derniers mystères taxonomiques et phylogénétiques entourant les genres Schoenoplectus et Schoenoplectiella, un groupe particulièrement diversifié dans l’est de l’Asie, mais qui compte aussi plusieurs taxons associés aux estuaires d’eau douce.

Anciens étudiants gradués

Dylan Longert a soutenu avec succès sa maîtrise en 2021 dans le laboratoire de Julian Starr à l’Université d’Ottawa. Sa thèse a démontré comment la coloration de l’inflorescence des Carex est corrélée au climat à l’échelle de l’Amérique de Nord, et elle suggère un rôle adaptatif potentiel de la coloration même chez cette lignée pollinisée par le vent.

Anciens étudiants au premier cycle

Amélie Laperle, stagiaire de recherche honor en 2023-2024 sur l’écologie des charophytes de l’estuaire d’eau douce du Saint-Laurent.
Sarah Thibodeau-Caouette, stagiaire de recherche honor en 2022-2023 sur le développement de marqueurs moléculaires pour l’identification d’aubépines indigènes (Crataegus).
Florence Lemay, stage d’initiation à la recherche en 2022 sur la différenciation de la rare cicutaire de Victorin (Cicuta maculata var. victorinii) de son sosie très commun, la cicutaire maculée (var. maculata).
Martine Pelletier, stage d’initiation à la recherche en 2022 sur l’identification des aubépines (Crataegus) par la spectroscopie foliaire.
Apolline Moiron, étudiante française en 2e année de licence lors de son stage en 2022 sur la phylogénétique moléculaire des Carex sect. Lupulinae.
Sidi Mohamed Lakehal, stage d’initiation à la recherche en 2022 sur la variation morphologique des Crataegus ser. Rotundifoliae au Québec.
Roxanne Fontaine-Garant, stage d’initiation à la recherche en 2022 sur l’identification de l’aubépine du Canada (Crataegus canadensis) par l’analyse morphométrique.
Zachary Forgues, stage d’initiation à la recherche en 2022 sur l’écologie des aubépines (Crataegus) à Montréal et à Laval.